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Bienvenus sur le portal de Montecatini Terme |
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Aperçus historiques
sur Montecatini Terme
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Et aux entrepreneurs locaux s'étaient joint les entrepreneurs étrangers ; Grace au grand-duc Leopoldo qui fit construire des canaux pour l'évacuation des eaux le territoire fut récupéré, de plus, pour faciliter l'utilisation des sources thermales des établissements furent construit : Tettuccio 1779,Bagno Regio 1773 et les Terme Leopoldine 1775. Une autre guerre a vu de nouveau Montecatini au centre d'une querelle, celle-ci commença en 1554 et ses protagonistes étaient |
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d'une partie Cosimo dei Medici et de l'autre Pietro Strozzi respectivement représentants de Florence avec alliance ispanique et de Sienne avec alliance française.Cosimo voulait conquérir Sienne dans le but d'étendre son propre territoire, et Sienne comme riposte partit le 11 juin 1554 à la conquête de la Valdinievole. Pietro Strozzi réussit à conquérir la Vallée peu à peu mais inexorablement, provocant le retrait de l'armée ispano-medicéenne vers Pistoia, et ainsi, le 21 juin de la même année Montecatini fut elle aussi occupée, avec seulement cent cinquante chevaux franco-siennois.Montecatini ne s'est pas oposée, |
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notamment car un certain Cornelio Bentivoglio précéda Strozzi en diffusant la nouvelle qu'il était un libérateur.Montecatini, un temps citadelle imprenable se trouvait désormais dans de mauvaises conditions, causées par la dégradation et par les difficiles épreuves soutenus au cours de plusieurs siècles de battailles.Ainsi, quand les médicis avec leurs troupes retournèrent à l'attaque, Montecatini retomba sous leur emprise et ils la saccagèrent sans pitiée en emportant même les portes et les fenêtres. |
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Mais Cosimo non content et plein de rancune envers Montecatini qui s'était avant laissé conquérir sans oposer aucune résistance et avait ensuite combattu pour ne pas retourner sous la domination des Médicis,
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ordonna de « la démolir jusqu'à ses fondations » ; et ainsi durant des jours et des jours, huit cents hommes se jetèrent contre les fortifications, les tours et les maisons ; de la destruction seulement cent soixante habitations se sauvèrent, trois couvents, le palais du Podestat et le palais de justice ( pour plus d'informations sur ce qu'il reste du Château de Montecatini voir Histoire de Montecatini Alto ).
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Les siècles s'écoulèrent plus ou moins tranquillement jusqu'au début du XX siècle, plus précisément en 1905, quand celui qui à une époque n'était qu'un petit bourg aux pieds d'une colline de Montecatini devint « Commune des Bains de Montecatini ».Ce nom n'eut pas de chance et fut changé par la suite avec le nom actuel. Au début du siècle l'offre touristique s'était perfectionnée et diversifiée.Les hôtels avaient grandi en nombre et en qualité.La nécéssité d'associer les soins, le divertissement, le relax et le sport se faisait sentir.Des restaurants à la mode, des thèâtres des établissements nocturnes firent leur entrée, et des personnages importants commencèrent à fréquenter la ville.Entre la fin du dix-neuvième et le début du vingtième siècle il était facilement possible de rencontrer, |
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dans les avenues ombragées, dans les parcs ou dans les établissements des personnages comme Giuseppe Verdi, Pietro Mascagni, Ruggero Leocavallo, Trilussa, Beniamino Gigli ou Luigi Pirandello.Grace à eux Montecatini devint un lieu de rencontre de renommée internationale : on y discutait de politique, on y concluait des affaires. Sa renommée grandit à un tel point qu'en 1926 elle enregistra soixante-quinze mille présences, un nombre considérable pour l'époque. |
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Pour arriver jusqu'à nos jours Montecatini a connut des pèriodes bonnes et d'autres moins bonnes comme toutes les villes touristiques d'Italie, elle sort en ce moment d'une pèriode non exactement splendide, elle se reprend justement car ( comme le démontre le fait que vous lisez ces aperçus historiques ) elle s'adapte au monde qui change et elle le fait aussi grace à Internet et à la collaboration de tous ces citoyens et de ceux qui comme vous, viennent la visiter, augmentant l'incitation à y faire à nouveau régner la splendeur du début des années 20.
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